Ultime tentative de passer sous l'1h20 sur cette course après laquelle, vous allez le comprendre, je ne cours pas vraiment...
Récit de ma participation à l'édition de 2013 : ici |
Origine de mon désamour avec le semi-marathon de Paris...
Et voila, je rempile pour la 3ème fois sur ce semi-marathon qui me déplait tant. La raison de ma participation est avant tout familiale puisqu' il s'agit d'une occasion parfaite pour revoir les parents et même d'organiser une sympathique cousinade le samedi... Autre motivation, "ma douce" a souhaité s'inscrire également, j'espère qu'elle appréciera l'expérience ;-)!
En revanche, pour moi cette fois-ci, c'est dit et écrit : c'est la dernière!
Mes différents griefs envers cette épreuve :
-Le prix! Tout simplement hallucinant au regard "du service" et de ce que l'on trouve à l'arrivée en guise de lot "offert"!
-Trop de monde, car même si les sas sont bien organisés on commence d'emblé dans un faux rythme pour 1 à 3 km... Peut être même plus pour certains participants.
-Les ravitos, qu'il faut aller chercher loin sur les extérieurs (sisi ça compte sur le chrono final ;-)). Cette année, je pense compter "sur les autres" pour éviter le crochet du premier ravito. Pas de détour, je ramasserai une bouteille par terre ou en récupérerai une auprès d'un coureur.
-L'ambiance : pas grand monde pour encourager. C'est assez triste au regard de ce que l'on trouve sur des courses même beaucoup plus petites en Espagne.
-Le profil n'est pas optimisé pour "performer" avec ses 160m de dénivelé cumulé (voir ci-dessous).
-Le nombre d'autres courses beaucoup plus intéressantes à faire à la même date...
Bref, ça ne me fait pas rêver, mais je comprends tout à fait que des gens différents puissent avoir un avis différent, il n'y a pas de règle en matière de défi personnel ou de plaisir à prendre sur une course...
Profil et dénivelé du Semi-Marathon de Paris :
Environ 80 m+ et autant de négatif mal réparti, un faux plat descendant par exemple serait beaucoup plus favorable que la dernière descente brutale (calculer à l'alti barométrique en 2010)...
Ma conclusion sur le semi-marathon de Paris :
Il faut avant tout venir sans pression pour "essayer" de se faire plaisir. Si on bat son record, on sait alors que l'on peut mieux faire... Et si on ne le bat pas, on peut raisonnablement estimer que c'est normal et qu'un autre semi-marathon permettra de réaliser un meilleur chrono (en étant plus agréable de surcroit)!
-> Je pense déjà m'inscrire au semi de St Sebastien en mai prochain ;-)
Récit de ma participation à l'édition de 2013 : ici
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